Comme en écho à notre article d’hier, cette interview, dans La Libre d’il y a quelques jours, de Kamagurka et Herr Seele:
« Il y a une volonté de subversion, reconnaît Kamagurka. Mais la première chose qui compte, c’est que ce soit drôle ». De l’humour crétin, oui, mais pratiqué avec le plus grand sérieux. « Et en même temps, le personnage de Cow Boy Henk est complètement innocent ». Une sorte de cœur pur qui se désole de n’avoir pu sauver un poisson de la noyade.
Si ça, ce n’est pas du surréalisme à la Belge…